Jurassic World, Renaissance
Synopsis :
Cinq ans après Jurassic world, Le monde d’après, l’environnement de la planète, s’est révélé hostile pour la plupart des dinosaures.
Ceux qui subsistent vivent dans des zones équatoriales isolées, aux conditions proches de celles de leur ère d’origine.
Parmi ces créatures terrifiantes, trois spécimens renferment peut-être la clé d’un remède capable de changer le destin de l’humanité… ce qui donne naissance au film : Jurassic World, Renaissance.
Avis après visionnage :
Gareth Edwards nous livre… une renaissance ?…
Avec ce nouveau Chapitre Jurassique World, Renaissance qui, pour un certain nombre de personnes, à la suite de ce visionnage, avec qui j’ai discuté, avaient la certitude que cet opus revient aux sources de la saga.
(Il me faudra un second visionnage du film pour pouvoir les rejoindre… ou non.)
Mené par une histoire qui rend, somme toute, hommage aux premiers volets de la franchise tout en y incluant quelques Rebondissements bien ajustés à cette nouvelle saga avec un bon rythme qui ne faiblit presque jamais pendant 2h13.
Juste un démarrage de+/-20minutes, d’introduction un peu long à mon avis mais cela n’engage que moi.
Il faut ajouter à tout cela, une réalisation de qualité qui au travers de plans séquences sympas et visuellement plutôt réussis, réalisation qui est soutenu par une bande son originale d’Alexandre Desplats qui apporte du souffle à l’univers Jurassique tout en collant à l’atmosphère du long métrage.
Le casting est assez crédible avec notamment Scarlett Johansson qui tient très bien son rôle de Zora Bennett, une mercenaire téméraire qui se trouve embarqué dans une mission très périlleuse et dangereuse.
Autour de notre héroïne on retrouve l’Incontournable Mahershala Ali qui est excellent dans le rôle de Duncan Kincaid un mercenaire charismatique, qui est rejoint par Jonathan Bailey qui joue le rôle de Henry Loomis un Scientifique Rationnel.
Nous pouvons trouver une certaine alchimie entre ce trio qui fonctionne bien sans oublier les prestations de Rupert Friend, Manuel Garcia-Rulfo, Luna Blaise, David Iacono, Audrina Miranda et Ed Skrein qui apportent leurs contributions réellement à cette distribution.
Au bout de plusieurs longues minutes d’absences en début du film, il fait néanmoins, enfin, la part belle à des Dinosaures Impressionnants, peut-être plus que dans les précédant opus.
(Bon à revoir les précédents films, car j’ai un peu oublié ceux-ci !)
Le film tente de renouer avec l’esprit de Jurassic Park du Monde Perdu en conservant une tension qui monte crescendo, en passant par des morceaux de bravoures assez spectaculaires qui ne nous laissent pas indifférents dans le rythme du film.
Avec en supplément des effets spéciaux assez nombreux qui nous essayent de nous en mettre plein la vue !… (Et pour certains c’est plutôt réussi !)
avec en prime quelques notes d’émotions et d’humour qui apportent un peu de corps à cette nouvelle aventure Jurassique.
Pour finir, Jurassic World, Renaissance s’avère incontestablement comme l’un des films indispensables de ce second semestre 2025, à ce jour et qui confirme le talent, malgré de nombreuses critiques, de Gareth Edwards.
Celui qui après le Dantesque Rogue One et le majestueux the Creator parvient à renouveler cette saga intemporelle commencé en 1993.
Il s’avère être ici d’un film d’aventures divertissant et actuel dont les amateurs du genre, (Plutôt de ceux qui sont plus jeunes !) … car les amoureux du 1er triptyque, pourraient ne pas tous y trouver, complètement leur compte !
Mais globalement, les amateurs d’un bon spectacle d’aventures seront sans doute comblés par ce 6ème opus plutôt réussi mais pour ma part manque un peu de consistance au niveau du scénario.
Ce n’est qu’un petit bémol à ce bon film distrayant et qui me demandera un second visionnage.
Pour les amateurs d’une bonne distraction au cinéma, sans se référer pour autant aux cinq premiers volets, je vous le recommande.